Le denier tour de baguette est bien entendu à maestro Toufic Maatouk. Quel commentaire sur cet opus mozartien ? « Je reprends, dit-il, les propos de Kant : Cosi fan tutte, ou l’école des amants, est une fable philosophique sur l’amour. J’attache une grande importance au libretto. Cette œuvre parle de la recherche du bonheur. Le seul défi est de captiver le public sans décor et sans costumes… »…..
Pari, certainement, gagné et gagnant. Avec un casting de tonnerre comme celui-là, Mozart est bien servi. Et le public aussi. Et en avant la musique !